RE/VIVRE

LA PASSION DE LA LUNETTE DE PÈRE EN FILS

Chez les Miklitarian, la lunette est une affaire de vie.

À seulement 23 ans, Alain Miklitarian fonde sa maison et révolutionne l’univers de l’optique en imposant une vision singulière : celle d’un créateur libre, guidé par l’intuition, la passion et le plaisir de créer. Le succès est fulgurant : plus de 70 millions d’euros de chiffre d’affaires, 26 boutiques dans le monde et plus de 500 collaborateurs. Mais à mesure que l’empire grandit, l’homme s’efface derrière l’entrepreneur. Fidèle à son instinct, Alain choisit alors de céder son entreprise : pour lui, la seule véritable richesse reste la liberté de créer.

Son fils Jérémy, d’abord tenté de reprendre le flambeau, en est dissuadé par son père :
« Ce serait un cadeau empoisonné », lui confie-t-il avec franchise. Ce refus n’est pas une rupture, mais une autre forme de transmission. À son tour, et au même âge, 23 ans, Jérémy décide de tracer sa propre voie en créant « Tarian » , une maison de lunetterie française qui conjugue savoir-faire artisanal et vision contemporaine. En clin d’oeil à son père, qui avait choisi « Mikli » de Miklitarian, Jérémy en garde l’autre moitié. Alors, dans un éclat d’humour, Alain lui glisse : « Un jour peut-être, nous rassemblerons le nom entier. »

Aujourd’hui, avec la renaissance de Solamor, cette promesse prend vie. Père et fils se retrouvent autour d’un projet qui leur ressemble : un retour à la création pure, animée par l’amour du métier.

UNE ICÔNE À REDÉCOUVRIR

Créée en 1946 par les frères Lissac, Solamor a traversé les Trente Glorieuses portée par les figures les plus en vue de l’époque, chanteurs, comédiens, intellectuels, écrivains, créateurs de mode ou encore humoristes. De Yves Saint Laurent à Jean-Paul Belmondo, en passant par Juliette Gréco et Jean-Luc Godard, la marque s’est imposée comme la
référence absolue d’une époque où l’allure était un art de vivre.

Aujourd’hui, Solamor renoue avec cet esprit iconique. Ses collections se distinguent par leur structure métallique signature, gage de confort et de style, et par leurs verres galbés de haute précision optique, qui garantissent une vision nette et homogène, sans déformation.

Chaque modèle est conçu pour accompagner les différents instants de la vie : de la lecture à la conduite, du sport aux plaisirs de la dolce vita, jusqu’aux éclats de la nuit.

LE VERRE GALBÉ, L’INTELLIGENCE DU REGARD

Pour la famille Miklitarian, le verre galbé n’est pas seulement une prouesse technique : il est l’intelligence du regard. Le verre galbé est aujourd’hui un défi, car sa fabrication est complexe. Pourtant, il demeure le plus fidèle allié de l’oeil, lui-même galbé par nature. Le galbe respecte la physionomie, épouse la forme de l’oeil et lui offre une vision élargie. Il protège l’oeil tout en le sublimant. Il devient ce cordon invisible qui relie l’être au monde, ce trait d’union entre ce que l’oeil est et ce qu’il voit.

UN ANCRAGE FRANCO-JAPONAIS

Solamor demeure indissociable du glamour des années 60 et 70, témoin d’un savoirfaire français inscrit dans la grande tradition lunetière. Aujourd’hui, fidèle à cet héritage, la maison s’entoure des artisans et techniciens les plus savants à travers le monde pour mettre leur expertise au service de sa renaissance.

Le Japon occupe une place particulière dans cette aventure. Dans un pays où l’artisanat est reconnu comme un véritable « Trésor National », la famille Miklitarian entretient depuis longtemps une complicité avec une manufacture familiale au savoir-faire ancestral. Hier, elle avait réuni Alain Miklitarian et Monsieur Nakanishi, le père. Aujourd’hui, cette histoire se poursuit avec Alain et son fils Jérémy aux côtés du fils Nakanishi, dans un bel écho entre deux familles unies par la même fidélité aux valeurs de l’artisanat.

L’ÂME DU TITANE

Derrière l’apparente simplicité d’une lunette Solamor, avec sa fine barre supérieure, se cache un savoir-faire rare. Cette pièce de titane, découpée, polie et façonnée avec minutie, demande une précision qui tient de l’art.

Dans les ateliers japonais, de vieilles machines continuent de tourner, capables d’une exactitude qu’aucune technologie moderne ne peut égaler. Là où l’industrie mise sur l’illusion, Solamor revendique la densité du réel : solidité, raffinement et beauté jusque dans les moindres détails.

LA JOAILLERIE LUNETTIÈRE

Chez Solamor, chaque lunette naît comme une pièce de joaillerie. Peu d’ateliers osent encore suivre cette voie, jugée trop longue, trop coûteuse, trop déraisonnable. Mais la famille Miklitarian en fait un principe, une fierté, une nécessité.

Une lunette Solamor se fait oublier pour mieux révéler celui ou celle qui la porte. Elle habille le regard sans l’alourdir, disparaît pour mettre en lumière la personnalité. Elle n’affiche aucun artifice : chaque détail est pensé pour servir la fonction, loin des effets faciles.C’est là toute la singularité de Solamor : une création héritière des icônes d’hier, nourrie des inspirations d’aujourd’hui et tournée vers celles de demain.

UNE CAMPAGNE QUI AFFIRME UNE VISION

La famille Miklitarian ne serait pas ce qu’elle est sans son audace et sa liberté assumée, que certains iront jusqu’à qualifier de provocation.

Alors que Solamor renaît, une campagne d’affichage vient affirmer avec force son positionnement singulier. Déployée sur les stands, dans les médias et à travers l’ensemble des supports de communication, elle met en lumière deux modèles emblématiques.

Cette campagne revendique une approche radicale du produit. Le premier mouvement est celui de la simplicité essentielle : ramener l’objet à sa fonction première, voir et protéger, libéré de tout superflu, porté par une technologie de pointe, au service d’un confort optique absolu. Puis surgit le style, comme le prolongement naturel de la fonction. Exister sans masque. Être simplement ce que l’on est, avec pour seule signature une paire de lunettes Solamor.

C’est pourquoi les corps sont nus. Non pas pour provoquer, mais pour revenir à l’essentiel : le regard. L’oeil, et ce qui lui permet de voir. Rien d’autre.

Cette campagne s’affranchit des tendances et des récits formatés, pour affirmer ses propres repères.

RE/VIVRE : LE MOT MANIFESTE

Enfin, parce qu’il ne s’agit pas simplement d’un lancement, mais d’une renaissance, la marque s’affirme sous un mot manifeste :

RE/VIVRE
Un mot qui dit à la fois :

• Le retour de la marque
• Le retour de la famille Miklitarian dans son domaine d’excellence
• Et le retour des consommateurs à la promesse originelle :
  un produit de vision d’une qualité irréprochable, où performance et style ne font qu’un.

Tout retour porte en lui l’élan d’un nouveau départ.

Partage réseaux sociaux :